Tromboniste du dernier groupe de Claude Nougaro, de Manu Dibango puis Tony Allen, co-leader avec Thomas De Pourquery d’un groupe jazz puis plus rock de 1997 à 2014, fondateur d’un trio avec Manu Codjia et Vincent Peirani pendant les années 2000, premier prix de soliste au Concours de La Défense en 2002, Daniel Zimmermann a été en 2014 le premier tromboniste nominé aux Victoires du Jazz suite à la parution de « Bone Machine ». S’ensuivirent des centaines de concerts avec ce projet et les suivants : en 2016, « Montagnes Russes », qui fit le tour des distinctions de la presse spécialisée, puis le plus expérimental « Dichotomie’s » (2019), avec une instrumentation originale, et qui jouira d’un joli succès critique également.
Parallèlement, il n’a cessé de se produire et d’enregistrer avec une multitude d’artistes, comme par exemple au sein des formations d’Archie Shepp, George Russell, Wynton Marsalis, l’Orchestre National de Jazz, Andy Emler, Michel Legrand, Éric Seva, de Pourquery & Supersonic, Andreas Schaerer, Nguyen Lê, Christophe Monniot, Karim Ziad, Jacques Vidal, Thierry Maillard, Sophie Hunger, Bernard Lavilliers, Jacques Higelin, Aznavour, avec le Sacre du Tympan, le Surnatural Orchestra, Ping Machine, Metronomy, et depuis 2020 avec le Trio Barolo.
« A ce niveau de réalisation et d’expression musicale, ce disque est une rareté, et une pure merveille. Cela fait longtemps que Daniel Zimmermann nous a appris, et démontré, qu’il est un musicien de premier plan. C’est une confirmation, éclatante » (Xavier Prévost, responsable du bureau du jazz de Radio France de 1997 à 2014, in les Dernières Nouvelles du Jazz)
« On ne pouvait rêver mieux que le fantastique quartette de ce tromboniste virtuose pour que les chansons cultes du grand Serge soient réinventées avec autant d’intelligence, d’amour et d’émotion. » (Frédéric Goaty, rédacteur en chef de Jazz Magazine – Choc Jazz Magazine)
« Le quartet du tromboniste sublime les titres phares de son idole (…) Un album superbe, absolument remarquable » (Catherine Carette, Thomas Curbillon, Fip – sélection FIP)
« Les chansons de L’homme à tête de chou in Uruguay ne vous lâchent plus (…), car c’est bien l’émotion et la sincérité qui gouvernent à chacune de ces reprises qui n’en sont pas vraiment. On est certain que Serge Gainsbourg aurait aimé. » (Bruno Guermonprez, président des Victoires du jazz, in Jazz News – Indispensable Jazz News)
« Un pur bonheur. Sans aucun doute l’un des tous meilleurs albums de l’année. » (Jacques Pauper, directeur de Couleurs Jazz)
« Album sidérant (…) Se déguste d’un trait. » (Bruno Pfeiffer, Mediapart)
« Suivant les moments ça groove, ça swingue ou c’est plein de tendresse mais ça sonne remarquablement bien d’un bout à l’autre d’un projet magnifiquement construit. L’un des meilleurs disques de cette fin d’année. » (Philippe Vincent, JazzNickNames)
« Bluffant » (Vincent Bessières, La Terrasse)